lundi 14 février 2011

Fin du premier scénario.

MJ : 
  • Brice.
Joueurs :
  • Kyle, Le pilote : Lionel
  • El Seductor, le dragueur : Ludo
  • Le mutant soldat : (???)
  • La vigie :Antoine
Lieu : 
  • Griffon.
La vie commençais à suivre son court à l'intérieur de l'espadon, expulsions par le sas régulières, punissions abusives comportements humiliants et honteux de la part de la capitaine qui avait de moins en moins d'amies a bord de son propre vaisseau. Nous étions entrain de faire ce qui s'apparentait être un voyage de routine en direction d'une planète commerciale importante de l'OCG pour réparer les dommages subits lors de la dernière bataille. Ainsi, nous fîmes forcés de faire une courte escale de trois jours, avant de reprendre notre route. Vous vous doutez bien que je ne parlerais pas d'informations aussi routinière s'il ne s'était pas passé un évènement de la plus haute importance durant cette période.

En effet, ``le Bosco`` la femme chargée de superviser l'équipage et de faire la liaison entre l'équipage et les hommes avant contacté plusieurs de mes camarades afin de leur annoncer qu'il était temps de se soulever contre l'oppression et de reverser le tyran qui nous gâchait tant la vie. Il était temps pour nous de nous soulever, nos informations étaient simple : ``Attendez le moment voulu, vous saurez quoi faire lorsque le temps viendra``.

Pendant que mes camarades survivants de l'évasion de la station spatiale dans laquelle nous nous trouvions quelques jours plus tôt faisaient la fête dans un rade proche du port, j'ai tenté, sans grands résultats de recruter quelques hommes afin d'avoir quelques atouts dans nos manches une fois le grand jour venu... Sans grands résultats.

Une fois les réparations terminées quelques jours plus tard nous sommes retournés à bord de l'Espadon afin de reprendre une vie presque normale de pirate spatiaux. La capitaine était plus désagréable que jamais, à nouveau une poignée d'homme furent passés par le sas sans aucune raison ! Il en était trop, nous devions agir au plus vite ! Mais nous étions forcés d'attendre que les coordonnées pour Havana soient entrées dans la console de navigation afin que le vaisseau puisse passer en hyper-espace. Le soucis étant qu'une seule personne connaissait cette fameuse information, et malheureusement pour nous, c'était la capitaine.

Des que nous passâmes en hyper-espace, la mutinerie, dirigée par le Bosco, s'élançait telle un raz de marée dévastateur avec un seul objectif : prendre le contrôle du poste de pilotage, défier la capitaine afin que le vainqueur puisse prendre sa place. Nous arrivâmes sans grande résistance a notre but, la partie la plus corsée fut quant il n'y eu plus qu'un seul pilote qui tentait désespérément de diriger le navire dans le wormhole formé autour de notre vaisseau. Ce type de véhicule étant conçu pour être piloté par cinq personnes aguerries j'ai immédiatement décidé de me désintéresser de la bataille qui commençait à faire rage autour de moi pour aller aider le malheureux aux commandes du monstre dans lequel nous nous trouvions ! Heureusement mon temps en prison n'a pas ruiné mon talent inné qui s'est encore une fois manifesté, comme à de nombreuses reprises dans le passé ! Et, comme d'habitude, j'ai évité à tout le monde de finir vaporisé dans le vide spatial. Pendant ce temps El Seductor tenait un duel endiablé contre la capitaine ! Des passes d'armes toutes plus rapides & habiles les unes que les autres se sont enchainées à un rythme endiablé, mais notre ami réussit à surprendre son adversaire et à prendre le dessus, un coup fulgurant tranchât sa poitrine dans toute sa largeur, la capitaine fit mine de lance une grenade, tout le monde se jeta à couvert. A la surprise de chacun aucune explosion ne retentit. C'était une astuce employée par la capitaine pour prendre la fuite.



Étant resté aux commandes du vaisseau a peine stabilisé je n'ai pas pu suivre la fuyarde, mais de ce que j'en ai entendu, son corps aurait été retrouvé totalement désarticulé dans sa cabine, je ne sais pas ce qui a pu causer de tels dommages, et a vrai dire je m'en fiche, car pour la première fois depuis des années, je me sent libre.

Havana nous voila !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire