Première séssion. (12/12/2010)

MJ :

• Lionel

Joueur :

• "Doc" Marty O'Brian, l'ancien chirurgien de pointe (Nadim)

Lieu :

• Chez Lionel.

Seattle, 2070.

Sept heure du mat... Quel est le crétin qui appel aussi tôt...

C'est ce que s'est dit Marty après s'être réveillé en sursaut, son comlink lui hurlait de répondre, ce qu'il fit tant bien que mal, Malgré sa gueule de bois habituelle, peut être un peu plus présente ce jour ci, il répondit à l'appel vidéo insistant, tentant tant bien que mal de faire bonne mine. Lorsqu'il se rendit compte c'était son fixer qui était entrain de l'appeler, il eut grand mal à cacher l'expression de surprise qui recouvrait son visage. Ce dernier, un orc assez jeune, voulait qu'il aille enquêter sur la mort du chef des docks, pas mal de newyens à la clefs. N'ayant pas bossé depuis un bon moment et ses fonds commençant a raser le plancher il n'était pas en position de faire la fine bouche & acceptât le job, puis, il ne faut pas se le cacher, ça le ramenait quelques années en arrière.

Le taxi qui lui fut assigné le menât directement au port, ou il arrivât au moment ou quelques dockers sortaient le corps du pauvre homme de l'eau, depuis un quai. Il réussi à les convaincre de le laisser prendre le corps afin qu'il puisse définir lui même la cause exacte de sa mort, le chargeât dans le véhicule & se rendit chez un de ses contacte, une ancienne collègue, du temps ou il était un médecin respecté. à l'époque cette dernière lui avait fait à plusieurs reprise des avances, mais fidèle à sa chère Martha, il les avait toujours repoussé, restant courtois. Elle avait accepté d'étudier le corps pour lui pendant qu'il allait fouiller auprès de ses contacts afin d'obtenir des informations sur les divers trafiques & autres embrouilles dans lesquelles le docker pouvait être mouillé.

Quelques temps plus tard, il apprît de la part de son amie qui s'était occupée du cadavre que le docker fut tué à l'aide d'une lame extrêmement aiguisée, d'un coup net & précis à la jugulaire, et qu'il était mort avant même que son corps eut touché l'eau.
Ayant tiré quelques ficelles auprès d'autres de ses amis, quelques oreilles baladeuses ont entendus que cet homme était mouillé jusqu'au cou dans les trafiques de toutes sortes, ça plus le fait que ce genre de blessures pourrait venir d'un katana, Marty leur à donc demandé de se renseigner sur les activités de ces gangs à Seattle. Et quelques jours plus tard, un bon ami à lui, lui a rapporté qu'une réunion aurait lieu dans le quartier de Bellevue, sans plus d'informations.

Il s'y rendit donc immédiatement, arpentant les échoppes & divers magasins, à la recherche d'un regroupement d'asiatiques douteux. Au détour d'une rue il aperçut une file de véhicules qui se démarquait des autres, gardes du corps, costumes & voitures de luxes s'arrêtèrent au niveau de ce qui de l'extérieur semblait être un entrepôt miteux. Après un rapide tour du lieu, & quelques questions (sans réelles réponses, mais il était évident qu'ils cachaient quelque chose) aux voisins il en conclu que le seul moyen d'en savoir plus sur eux était d'aller leur parler directement & pacifiquement afin de prétendre qu'il souhaitait travailler pour eux, les infiltrer en somme.

Seulement ses intentions pacifiques ne furent pas partagées et son petit manège dans le quartier avait été repéré depuis un moment déjà. Les hommes de mains qui gardaient le lieu n'eurent pas de mal à le maîtriser, après un court interrogatoire il fut endormis avec une seringue pleine d'un puissant anesthésique. Il se réveillât dans une chambre contenant une batterie de matériel hospitalier archaïque mais en état de fonctionnement, une grande douleur sur le haut de son crâne, qui était recouvert d'un impressionnant bandage. La personne qui lui semblait être le chef des gardes du corps pénétrât dans sa chambre & diffusât une vidéo en RA via son comlink qui lui glaçât le sang. Les images le montraient sur une table d'opération, la boite crânienne ouverte, un appareil installé à l'intérieur de son cerveau, appareil qu'il avait eu l'occasion de voir plusieurs fois le long de sa carrière. Il sagissait d'une bombe corticoïde. En effet il allait travailler pour eux, mais pas de la façon dont il l'avait imaginé.