lundi 31 janvier 2011

Archivage.

et voici.... Le journal de Solomon Bar Cohen, Le célèbre vétérinaire!

??/??/???? (faudra que tu me donnes la date exacte de quand se déroule la partie, heyk Stp.)

Toujours à la recherche de ce fameux minerais qui pourrais permettre à ma roulotte d'avancer sans chameaux, j'ai ouvert une porte pensant aller à la ville de fragrance, qui d'après mes contacts serait l'endroit ou j'aurais le plus de chances de trouver ce fameux Orichalque. Et là, mon fils, j'te jire la vérité, j'sais ce qui s'est passé, je me suis retrouvé dans la ville des croisés, juste devant celui qui m'à envoyé dans la mer au large de bab-el-oued, charmante bourgade perdue dans le désert. Ce fou à lier qui utilise une magie des plus dangereuses... Celle de la création car croyez, et j'écris ça à titre indicatif pour ceux qui liront un jour ce journal, la seule bonne magie est celle de la transformation. rien ne se crées, rien ne se détruis, toute chose à une infinité de devenir. Seul dieu à le droit de créer et détruire et ceux qui se jouent de cette règle finissent tôt ou tard à subir la foudre divine. Car à chaque destruction il y à création et chaque création prends sa source dans la mort et la destruction. Prenez bien note de cette phrase : Les humains ne connaissent ni destruction, ni création et ceux qui n'ont pas conscience de cette règle finissent, tôt ou tard par subir les dommages collatéraux qu'ont engendré leur folie. Et ce n'est, je pense, que juste punition pour ceux qui transgressent la loi de l'univers. Bref, je me suis retrouvé en face de ce fou, accompagné, à ma grande surprise d'un traite à notre grande famille qu'est le coeur sacré.

Ma surprise ne dura que quelques instants car mon arrivée après mon long voyage dans les dimensions attira l'oeil de ces chiens de croisés. Que Shirad les foudroie cette bande d'impies! J'eus cru que ma dernière heure avait sonné, mais ce fut sans compter l'arrivée surprise de quelques amis du traître qui mirent des bâtons dans les roues de ces abrutis à la croix rouge. J'en profitai donc pour tirer ma révérence et embarquer avec le fou à lier qu'est ce tordeur de réalité. Que Shirad m'en sois témoin, j'ai suivi son chemin et ai aidé un homme qui ne le méritait pas, pour honorer l'amour qu'il porte envers tous ceux de notre espèce. J'ai mis mes chameaux au galop pour rattraper le traître. J'avais senti que la rédemption était possible pour lui et je jure devant ma foi que je ferai tout mon possible pour l'aider à rentrer dans le droit chemin et à confesser ses péchés auprès de mes frères et soeurs.

comme je m'y attendais, le traître s'arrêta dans un endroit mal famé et entra dans une taverne tenue par un géant à la peau d'ébène. J'y déposa le tordeur de réalité et m'en alla chez Khaan, au temple de Shirad pour y déposer ma roulotte, car je sais qu'avec lui, ma marchandise et mes chameaux ne craignent rien. J'ai prié pour le pauvre fou, pour le traître, pour ma famille et pour cette ville qui à première vue, aurait bien besoin de rédemption. J'ai remercié Khaan et je suis retourné à l'auberge, espérant revoir le traître. C'est à mon grand désarroi que je ne rencontrai qu'un de ses compagnons de route avec qui je pris un dîner bien mérité.

Un diner qui d'ailleurs, me coûta bien des ennuis mais qui, comme je l'ai dit plus haut, se sont bien vite transformés en opportunités inopinées. Dans tout mal réside un bien qui ne demande qu'à être trouvé. Le repas s'avéra délicieux mais le géant d'ébène me demanda une once de safran comme paiement! Quelle arnaque, et comme le dit si bien le diction, ce n'est pas au vieux chameau qu'on apprends l'art du mollard. J'essaye tant bien que mal de négocier mais je crois que nous ne parlions pas le même langage... quand je lui ai demandé de sortir pour s'expliquer au calme entre gens civilisés, le sang du bougre n'à fait qu'un tour et je me suis retrouve embarqué dans un duel qui aurait pu coûter la vie à l'un d'entre nous. Le géant aurais pu aisément me battre si je n'étais pas né de sang maudit. Le combat fut court mais intense et j'en sortis à la grande stupéfaction du public vainqueur. Je crois que commence à être respecté dans cette ville. Les gens s'écartaient sur mon passage et h'ai pur retourner à l'auberge sans encombres.

Je fus vite rejoint par le taulier qui, pas rancunier pour un sou, m'offrit quelques gorgées d'un breuvage fort onctueux mais un peu trop fort. Je crois avoir un peu abusé du goulot et je ne me souviens plus très bien de la suite des évènements. une seule chose reste gravée dans mon esprit... Fragrance... on dirait que je suis destiné à cette ville, comme ce fou de tordeur de réalité est destiné à finir tragiquement...

A mon réveil, je me suis retrouvé dans une barque, l'entrejambe maculé de graisse d'nimal, la même que j'avais vendeur quelques heures plus tôt à un ami du traître qui voulait tordre la réalité entre les fesses de notre ami le fou à lier.

Texte par Bubby.

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Nous arrivons sur une placette, tout le monde est présent, ce qui est plutôt rare, rapidement les voilages sur les murs se mettent a battre, et, un chameau blanc comme neige sortit du mur, suivi d'un second, suivi d'une charrette a la forme des plus étranges, au moins aussi étrange que familière. En effet ma surprise fut grande lorsque je vit Solomon aussi fringuant que lorsque je l'avais quitté il y a maintenant plus de cinq ans.

Pour je ne sais quelle raison, surement encore a cause d'un quelconque grabuge causé par mes partenaires d'aventure, un groupe de templiers sont arrivés afin de vérifier si nous ne faisions pas de grabuge, il est normal que ces hommes fassent leur travail après tout je ne peux pas leur reprocher, mais certains de mes partenaires en ont décidés autrement et n'ont pas choisi le moyen le plus diplomatique de régler le soucis, ainsi un thaumaturge attiré par le chahut de la dispute avec les gardes. Bien que les hommes d'armes furent antipathiques et stupides a souhait, ils écoutaient au moins les réponses aux questions qu'ils nous posaient, hors ce mage qui venait d'apparaitre n'a guerre posé de questions, et une fin tragique inévitable se profilait. Inévitable? Non, car par une chance inouïe une bande de malandrins suicidaires pris d'une compassion soudaine se mirent a insulter les hommes de loi et les attaquèrent a main nues, quelle folie, quelle bravoure, et surtout quelle opportunité pour nous, en moins de temps qu'il me fallait pour le dire me voici sur le chariot de Solomon, m'éloignant de cette place qui a failli être notre lieu de mort a tous, j'imaginais déjà une centaine de garde accompagnés d'une dizaine de thaumaturges affluer vers l'endroit dans le seul et même unique bute, nous occire.

Mais rien n'en fut nous voici en route pour une taverne alfarikaani ou, mes compagnons rentrèrent, j'ai pour ma part décidé de visiter le quartier religieux, afin d'estimer les dégâts qu'avaient fait les cultistes de Jason dans cette ville presque oubliée d'Houbal. Oubliée, elle ne l'est pas, car Mustafah lui même est venu discuter avec moi, et les éléments de cette fameuse conversation n'ont guerre plus aux quelques hérétiques qui se trouvaient autour de moi. Effectivement, acculés devant la raison implacable de mes arguments ces bougres en sont presque venus a la violence, ce qui a encore une fois prouvé a quel point ces sauvages sont archaïques. Ayant vu ce que je souhaitai je suis revenu sur mes pas.

après un bon repas, Solomon et moi avons décidés de boire, il est rare que je cède a de si basses manières, mais les retrouvailles avec un ami de vieille date permettent bien de telles folies de temps en temps. Le soucis avec l'alcool alfarikaani, c'est qu'il est fort, très fort, et que passé le second verre je ne me souviens plus de grand chose en dehors du fait que j'ai dansé dans la cave de ce charmant établissement, aux décorations somptueuses. Échangé quelques accolades amicales avec mon ami avec qui j'ai tant parcouru les dunes. Après ça, rien, le vide total.

Mais ce que j'avais bien pu faire dans la nuit lorsque je me suis réveillé, ou plutôt lorsque j'ai constaté ou je me trouvais après mon éveil. Perché en haut d'un mur d'une hauteur vertigineusement mortelle, si bien que j'ai du prendre sur moi et faire le vide intérieur afin de trouver le courage de regarder en bas. Le mur de Jason, ou plutôt, le haut du mur de Jason, mais qu'est ce que je faisais ici, sur ce lieu impie, rien que le fait d'imaginer que j'ai pu le toucher me donnais la nausée... Ni une ni deux je décide de me transformer en vent du désert afin de descendre de ce lieu maudit. Mon arrivée en bas fut accueillie par un inquisiteur furieux, ce dernier n'a pas vraiment pris le temps de se présenter, ou de me laisser causer, il a immédiatement commencé a me lancer divers sorts, tous plus mortels les uns que les autres, seule ma grande maitrise des arcane m'a permit de me tirer d'un si mauvais tour, comme elle m'a permise d'écraser ce misérable moustique qui pensait pouvoir me tuer aussi facilement. Je lui ai laissé sa chance, je m'en suis remis a Houbal car je ne voulais pas être violent, mais Houbal m'a bien fait comprendre qu'il fallait faire de lui un exemple, ainsi j'ai employé toutes mes arcanes pour me transformer en une créature du désert, représentant d'Houbal lui même, j'ai pris la forme d'une créature divine, sous la l'apparence quasi humanoïde d'un sirocco hurlant, j'ai saisi un shimshir qui venait d'apparaitre devant moi, pour lancer toute ma nouvelle force dans une attaque dévastatrice qui ne laissera derrière moi que la cadavre d'un impétueux et arrogant petit magicien, coupé en deux.

Texte par Lionel.

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